Ce type de contrat appelé contrat d’assurance crédit est dédié à toutes les banques, les organismes de prêt et les entreprises. Ce contrat engage en effet la responsabilité de l’assureur à rembourser les impayés des clients aux moyens des primes versées régulièrement par ces organismes.
Le contrat protège dans ce cas les assurés contre les éventuels risques de non-paiement. C’est une attitude bien réfléchie pour les organismes qui veulent assurer leur avenir. Statistiquement, on estime que plus de 20 % des entreprises en Europe sont tombées en faillite à cause des impayés.
Ainsi, l’assurance crédit est adaptée pour éviter que ce problème touche les autres entreprises.
Les atouts de ce type d’assurance
Dans la vie d’une entreprise se présentent des hauts et des bas. Les risques sont multiples et peuvent tous constituer des facteurs conduisant à la faillite de l’entreprise.
Parmi ces risques, on a les mauvais payeurs. L’assurance crédit permet alors à l’entreprise qui court un danger de se remettre sur pied. Elle possède une influence et détient un pouvoir de dissuasion devant les débiteurs.
Les assurés peuvent se consacrer pleinement à leurs activités, dans ce cas le rôle de l’assurance est de surveiller en permanence les mouvements des clients. En trois points, l’assurance credit prévient et surveille les clients de l’assuré, elle gère les contentieux et enfin elle indemnise les retards de paiement. Il suffit à l’assureur de verser la prime convenue.
Le coût de l’assurance credit
Plusieurs facteurs entrent bien évidemment dans le calcul du coût de ce type d’assurance professionnelle. De plus, ce coût varie en fonction de la compagnie d’assurance. Il faut aussi retenir le critère de l’entreprise si celle-ci effectue des transactions avec des clients français ou des étrangers. Généralement, le coût est représenté entre 0.1 et 1 % du chiffre d’affaires et tient compte des éléments tels que les zones où se localisent les clients internationaux, la nature et le nombre de ceux-ci, la mise en place et détermination de la valeur de la franchise sans oublier le montant total du chiffre d’affaires. Tandis que pour les contrats forfaitaires, le coût est fixé à 1500 euros par an.